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Arthur Rimbaud

Biographie Rimbaud

      Jean-Nicolas-Arthur Rimbaud, est né à Charleville dans les Ardennes le 20 octobre 1854. C’est un poète français qui appartient au mouvement symboliste.

      Il est issu d’une grande famille, il a trois sœurs. Son père, capitaine d’infanterie abandonne ses enfants et sa femme, il est donc élevé seul par sa mère très stricte.

      Sa scolarité se passe très bien, c’est un élève brillant avec tout de même un gout bien prononcé pour la révolte.

       En 1869, il remporte divers prix dont le premier prix du concours académique, c’est en 1870 qu’est publié son premier poème « Les Etrennes des orphelins ». Georges Izambart son nouveau professeur au lycée grand amateur de poésie l’initiera à cet art. Alors qu’il n’a que 16ans, il fait deux fugues, l’une en août 1870 et l’autre en février 1871.

      Le 15 septembre 1871 il rejoint Paris après la proposition de Verlaine à qui il avait envoyé en août quelques écrits. Il part avec son poème « Le bateau ivre ». S’en suivra une liaison amoureuse avec Verlaine chez qui il vivra auprès de sa femme et son fils qui finiront par le quitter. Les deux amants partiront pour Bruxelles puis Londres. Leur liaison s’achève en 1873 après une violente dispute ou Verlaine blesse Rimbaud de deux coups de revolver.

      Pendant sa convalescence, il rédige « Une saison en enfer ». Rimbaud finira ses voyages seuls. En 1876, il s’engage pour six ans dans l’armée coloniale hollandaise mais finalement il rentrera à Charleville. Fin 1878, il trouve à Chypre un emploi de chef de chantier mais rentrera l’année suivante en France. En 1880, il part pour l’Egypte. En 1885 il commence à faire du trafic d’armes et ce jusqu’en 1888. C’est en 1891 qu’il sera rapatrié en France pour une tumeur au genou droit qui le fait souffrir et qui causera sa mort.

 

Œuvres principales

 

  • Une saison en enfer 1873

  • Les Illuminations, 1886

  • "Le Dormeur du val", 1888

 

Citation

 

« Si stupide que soit son existence, l'homme s'y rattache toujours. »

Lettre du 10 juillet 1891.

Manon T.

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